albator83 a écrit:En effet, si le disque est voilé, la méthode plus haut (que j'utilisais avec succès sur mon VTT) ne fonctionne pas.
JulienCampa a écrit:Mes plaquettes ont à peine 1400 km.
Mais c’est bon à savoir. D’ailleurs j’aurais pensé l’inverse …. Une explication ???
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stam a écrit:S'ils sont bien lubrifiés avec un lubrifiant silicone adapté, c'est qu'il y a peut-être un peu trop d'huile dans le circuit ?
Refais une purge en veillant à ce que les pistons soient bien rentrés au moment de refermer le circuit.
christouphe a écrit:Il me semble que c'est normal, c'est un joint qui ferait cela afin de créer un rattrapage d'usure, sinon à chaque freinage tu aurais une sensation de course à vide, qui s'accentuerait avec l'usure des plaquettes.
JulienCampa a écrit:
Par contre comment sait-on qu'on a le bon niveau d'huile dans le circuit ????
Jean Thevenet a écrit:La solution à la surchauffe serait un freinage magnétique, comme pour les camions...
techniquement un moteur à l'envers qui gaspille l'énergie dans une résistance de chauffage
JulienCampa a écrit:Salut,
Existe-t-il des disques ceramiques, carbone, pour le vélo ? On aurait plus de pb de surchauffe LOL.
Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
c'est à dire sur-dimenssionné (vraiment pour une moto alors que c'est un vélo), et il ne faut pas oublier qu'en moto, c'est QUE du freinage d'urgence, l'essentiel du freinage qui cumule sur des dénivelés important ou des décélérations est en frein-moteur.ThierryG a écrit:Jean Thevenet a écrit:La solution à la surchauffe serait un freinage magnétique, comme pour les camions...
techniquement un moteur à l'envers qui gaspille l'énergie dans une résistance de chauffage
Tu suggères donc de faire chauffer une résistance électrique plutôt qu'un disque mécanique ?
Et si le problème de la surchauffe était tout simplement la recherche du poids minimal des vélos ? Avec un disque de moto, il devrait être possible de freiner un cycliste sans souci
Jean Thevenet a écrit: il ne faut pas oublier qu'en moto, c'est QUE du freinage d'urgence, l'essentiel du freinage qui cumule sur des dénivelés important ou des décélérations est en frein-moteur.
JulienCampa a écrit:Faire chauffer une résistance .... jusqu'à incandescence ... on voit que tu n'es pas électronicien... car à un moment, elles risque tout simplement de casser ....
Mettre un moteur à aimant permanent et embarquer toute l'électronique de contrôle du courant du stator, je pense pas que cela soit vraiment une optimisation ... car quand tu voudras freiner, il va falloir faire appel à un calculateur qui va mesurer le couple et la vitesse de la roue pour faire sortir plus ou moins de courant suivant la course du levier et/ou la force appliquer sur le levier -> ce qui implique un ressort de rappel ou truc de ce genre avec un capteur de force pour que le cycliste sente quelle force qu'il applique.
On aura au final un système beaucoup plus cher, encombrant, lourd et avec un risque de panne bien plus élevé qu'avec un simple câble ou une simple durite ...
Le freinage à induction dans les camions est utilisé en type "frein-moteur" comme dans une voiture électrique ou hybride quand on retire le pied de la pédale des gaz ou qu'un régulateur de vitesse est enclenché .
Dès qu'on freine mécaniquement, la puissance hydraulique est bien supérieur à la puissance électrique et pour l'instant, rien ne peut remplacer cette force (à part les MW des moteurs des TGV... )
ThierryG a écrit:Jean Thevenet a écrit: il ne faut pas oublier qu'en moto, c'est QUE du freinage d'urgence, l'essentiel du freinage qui cumule sur des dénivelés important ou des décélérations est en frein-moteur.
Je doute que tu aies vraiment fait de la moto pour imaginer cela.
JulienCampa a écrit:60548m de D+ et 4300 km selon Strava pour mes plaquettes AV et je descends pas doucement avec souvent des pointes entre 70 et 85...
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