marmotte 2007

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Messagede Aiglon » Lun 7 Juil 2008 13:55

Alors comment cela sait passer? Ricky je t'ai apreçu à l'arrivé tu parlais avec duduche et charmette... Comment c'est passer ton baptème de l'année avec le glandon?
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Messagede rickyfirst » Lun 7 Juil 2008 16:05

De retour chez le boss et je tousse toujours. J'ai perdu au moins un poumon, le 2éme est en analyse chez le médecin :cry: .

En clair nez bouché et poumons en feu. Donc j'en ai chier pour avancer comme ................. une marmotte. Résultat brute 8h03 :oops: . Sinon, je confirme que le cols et moi cela fait 2. Dès que l'on est au dessus de 5%, j'en chie grave. J'ai seulement bien rouler entre le sommet du galibier et le pied de l'alpe.

J'ai eu droit aux encouragements de Nicoa qui a manifestement une morphologie plus adpatée à la montagne que moi :lol: . J'"ai vu à l'arrivée les Voiron boys (Porte et Charmette). Félicitation à eux qui virevoltent lorsque je suis collé au bitume.

J'ai un poil taillé la bavette avec Casran de WW au début du Glandon.

Le Duduche fait 10éme d'une édition qu'il a trouvé bizarre du point de vue tactique. Le boss fait 71éme en 6H55 (le moral atteint par les valeurs de son SRM dans l'Alpa d'Huez :lol: ).

Niveau organisation, j'ai trouvé cela impeccable alors que l'on m'avait raconté des histoires horribles. Seul bémol, le ravitaillement en eau du pied du télégraphe qui donnait aux coureurs des bouteilles de 1,5 litres, moralité pleins de bouteilles quasi pleines sur la route 20 mètres après le ravito.

Dans l'absolu, j'ai trouvé la Marmotte belle mais clairement en dessous d'un marathon des dolomites du point de vue paysage et fête du vélo.
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Messagede duduche » Mar 8 Juil 2008 08:56

Avec un peu de patience, de passion :?: ou de masochisme vous arriverez peut-être au bout de ce compte rendu :wink:

Cette Marmotte, la 10ème en ce qui me concerne revêt chaque année un caractère particulier.
Si j’arrive à me lasser de certains parcours après 3 ou 4 éditions en espérant que l’organisateur change de circuit, la Marmotte conserve le sien depuis plus de 20 ans… sauf pour le col du Glandon que l’on escalade en place de la Croix de Fer depuis 2005 pour cause des travaux dans certains tunnels de la descente... travaux aujourd’hui terminés. Espérons que l’édition 2009 revienne à ce col qui culmine déjà à plus de 2000m.
Cette épreuve donc, j’y pense chaque année depuis le franchissement de la ligne d’arrivée pour l’édition suivante. Ca me pousse parfois à aller m’entraîner en me disant que ça ne sera pas du temps perdu pour ce qui nous attend immuablement en ce 1er samedi de Juillet.
Pourquoi un tel engouement ? Pour de multiples raisons en réalité. Pour l’ancienneté du parcours justement, il s’agit d’une des 1ères cyclosportives et de beaux vainqueurs ou protagonistes se sont succédés : Laurent Brochard, Francisque Teissier, Yannick et Sébastien Talabardon ou Patrice Halgand pour ne parler que des professionnels sans oublier Lars Ten Dam devenu pro chez Rabobank et vainqueur en 2001 sous la neige fondue ou encore des Elites en pleine force de l’âge comme Guillaume Judas, Pascal Rota durant les années 90.
Et depuis quelques années, l’épreuve a pris encore de l’ampleur avec le véritable amour que vouent les hollandais à l’Alpe d’Huez, qu’ils considèrent comme étant « le point culminant de leur pays ». Les italiens, proches voisins ont également eu tendance à truster les 1ères places depuis 2000.
Si bien que chaque année les temps tombent et certains cyclosportifs d’aujourd’hui en terminent dans des temps proches des meilleurs coureurs amateurs d’il y a 10 ans.
Bref, au départ à Bourg d’Oisans il règne à chaque fois une effervescence, une boule à l’estomac que je ne rencontre pas ailleurs, en restant dans un schéma classique du Cyclosport. Certainement que l’ultra distance – qui me tente aussi - permet d’accéder à cet état d’esprit.

Pour toutes ces raisons j’avais très envie que mes collègues du Team viennent en nombre cette année. Il fallait que je fasse partager tout cela, même si les près de 5000 m de dénivelé ne constituent pas leur tasse de thé. Pour autant 5 autres Mailleux (Eric Wellens, Yves Diepvints, Philippe Noël,
Patrick Hobé et Benoit Derwa) avaient fait le déplacement en plus de Julien Seidel et Christophe Domain qui étaient aussi de la partie à la Classique des Ardennes 4 semaines auparavant.

En ce 5 Juillet, la température allait être idéale : jamais froide y compris au départ ou en haut du Galibier et jamais chaude même sur les 1ères rampes de l’Alpe d’Huez. Bizarrement toutefois le vent défavorable allait nous accompagner sur les 2 vallées, alors que nous les empruntons dans un sens différent.
Peut-être en raison des travaux sur les 7ers km jusqu’à Rochetaillée, le départ était moins rapide qu’à l’accoutumée. Même le début de la montée vers Articol se faisait presque groupé. Mais les pentes de 10% jusqu’au Rivier d’Allemont allait aboutir à une sélection de 15-20 coureurs environ. Je crains souvent la partie située après, non pas la partie qui permet de rejoindre l’ancienne route mais bien les 3-4 km qui suivent car la pente est irrégulière… de même que la vitesse du groupe bien souvent.
Les sensations étaient correctes, sans plus. Je devais tout de même m’employer alors que certains comme Michel Roux ou Michel Snel le hollandais avaient l’air très à l’aise. Mais les plus impressionnants restaient Bert Dekker qui avait fait un numéro à la Vaujany une semaine auparavant ainsi que 2 italiens.

Mais tout semblait se dérouler de façon idéale pour moi quand un jeune pro d’AG2R, Bérard attaquait dans les 200 derniers mètres du Glandon sur le grand plateau. J’étais plutôt dans les dernières positions du groupe en abordant la descente. Celle-ci se faisait tambour battant. Je ne la crains pas du tout mais il peut être difficile de doubler tant celle-ci est étroite et technique avec bien souvent une seule trajectoire possible. Mickael Gallego et Oege Hiddema se faisaient lâcher, victimes de leurs défauts en descente. Quoiqu’il en soit je ne sais pas qui a créé cette mauvaise cassure mais à Saint Etienne de Cuines un groupe de 5-6 coureurs possédait au moins 1 min d’avance. Je me retrouvais piégé en compagnie de Michel Roux, Nicolas Ougier, Patrick Guéraud pour citer quelques uns des cyclosportifs les plus connus. Figurait aussi un Elite de Saint Etienne. Je savais que nous allions nous organiser mais 20 km de chasse n’ont pas suivi pour rejoindre le 1er groupe qui a certainement pas traîné non plus. En tournant à droite dans Saint Michel de Maurienne il fallait slalomer entre les voitures. J’abordais avec 30 m de retard sur Ougier, Prin et Roux cette ascension. J’essayais de revenir mais je me mettais dans le rouge.
Il était plus sage de monter au train. Je me retrouvais en compagnie de Patrick Guéraud et nous nous relayons de façon efficace. Sur le sommet nous reprenions Pierre Chevalier qui avait été décroché. Un coup d’œil sur le chrono indiquait une ascension en 40 min, ce qui reste relativement rapide.
Avec ces 2 coureurs là j’étais optimiste sur notre avancée jusqu’à Plan Lachat. Ce col est vraiment parmi mes préférés. On évolue dans un décor magnifique et le côté sportif avec 8 derniers kilomètres difficiles est à la hauteur.
Chevalier restait derrière et finalement nous ne pouvions que monter au train.
Finalement j’étais le plus à l’aise des 3 sur les plus forts pourcentages et plutôt qu’attendre je préférais continuer à mon rythme quitte à attendre au Lautaret.
Ce col du Galibier est vraiment majestueux, certainement l’ascension la plus difficile de France car elle fait suite au Télégraphe qui lui est forcément accolé.
Avec des vues plongeantes sur les lacets inférieurs je voyais se rapprocher David Polveroni, épatant du haut de ses 19 ans, et Mickael Galllego plus à l’aise en montée qu’en descente. 2 autres coureurs les accompagnaient dont un hollandais de Gaul.nl. Je passais avec environ 1 min d’avance sur eux, ce qui me laissait le temps de prendre un bidon, tendu par le doyen du Team, Léon.
Avec le changement de position pour la descente des crampes arrivaient. Mais les lignes droites après le Lautaret me laissaient le temps de m’étirer, surtout que j’avais toujours un peu d’avance sur mes poursuivants. J’espérais que ces crampes passent si je parvenais à boire suffisamment et à m’alimenter en gels. De plus compte tenu du vent défavorable, il ne servait à rien de poursuivre seul. Les meilleurs descendeurs du groupe de poursuivants, c’est à dire Pierre et Patrick + le hollandais au maillot noir me rejoignaient. Pas de trace de David ou de Mickael, apparemment restés « plantés » à 200 m derrière. Les relais étaient bien assurés alors qu’il fallait faire attention aux voitures qui descendaient ou qui montaient, surtout dans les tunnels où la visibilité médiocre obligeait à regarder par dessus les lunettes de soleil.
Finalement j’abordais l’Alpe dans le même temps qu’en 2007 : 5h24. Je pouvais espérer en théorie le même temps que l’an dernier mais les jambes n’étaient pas aussi fraîches.
L’expérience m’a montré qu’il ne faut pas s’affoler avant la Garde. Je laissais filer Patrick Guéraud qui possédait donc 200 m d’avance sur moi au passage de ce village. Le même hollandais restait dans ma roue tandis que Chevalier avait décroché très tôt. Avec les pourcentages moins forts Guéraud ne semblait pas pouvoir accélérer. Nous le rejoignions donc assez rapidement pour le lâcher sans qu’il ne s’accroche. Il fallait gérer la douleur présente partout : aux jambes bien sûr mais aussi aux poumons, aux bras, au dos. Mon collègue de route était pareil et cela se jouait alors au moral. J’ai certainement commis l’erreur de vouloir le tester ou le lâcher en abusant des gros braquets si bien que je coinçais juste avant Huez. Je le voyais partir sans rien pouvoir faire. Impossible de rouler à son allure, alors qu’elle ne devait à peine être supérieure à la mienne de… 0,2km/h. C’est ainsi en montagne.
Pourtant je revenais sur le pro d’Ag2R qui n’a certainement pas encore l’endurance pour les efforts de plus de 5-6h.
Dans les 3 derniers virages, Polveroni et Chevalier se rapprochaient mais je savais que c’était aussi dur pour eux que pour moi. Il faut se raccrocher à ce genre d’idées dans ces moments là.
Un hollandais me passait à 200m à peine du sommet (office de tourisme) en mettant une mine. C’est de bonne guerre et je n’avais pas assez d’énergie pour tenter de résister.
A quelques encablures de l’arrivée je me voyais fondre sur Nicolas Ougier qui avait dû vivre une montée de l’Alpe encore plus dure.
Finalement je suis monté en 56’ environ soit 3 min30 de plus qu’en 2007. C’était sensible sous la pédale mais surtout j’ai fini bien moins frais.
Mais pour ce temps de 6h20 et cette place de 10ème j’aurais volontiers signé il y a 2 ans donc je suis partagé entre satisfaction et légère déception.
Durant l’épreuve et surtout dans l’Alpe je me suis même demandé s’il n’était pas plus raisonnable de revenir en se mettant moins à fond. En roulant sur des bases inférieures ou mieux encore avec des copains il serait aussi possible de prendre beaucoup de plaisir… en souffrant moins.
On verra l’année prochaine mais certainement que cet hiver quand il fera gris et froid en Picardie le « démon » de la meilleure perf possible à la Marmotte reprendra le dessus.
Il faut aussi préciser que l’organisation de cette année m’a semblé personnellement sans faille. J’ai longtemps regretté de ne pas voir de tapis intermédiaires pour éviter la triche, ils y étaient. Les signaleurs étaient vraiment en nombre, que ce soit dans la descente du Glandon ou dans la Grave où les gendarmes étaient présents. Les 1ers kilomètres du Glandon étaient même bloqués depuis Saint Colomban les Villards, ce qui n’a pas empêché certaines chutes ou sorties de route mais comment incriminer l’organisation ? Certes le Lautaret était plutôt périlleux entre voitures dans les 2 sens et tunnels peu éclairés mais comment fermer la route d’une nationale touristique un samedi de Juillet ? Seule la Société du Tour peut se le permettre. Le règlement d’une cyclosportive dit qu’il faut respecter le code de la Route. Le cyclosportif s’y engage et s’il le fait alors le Lautaret ne pose pas de problèmes. De plus le village d’arrivée était sympa, plutôt bien rangé, pas de file d’attente, un groupe pour jouer de la musique… correct. Une ambiance finalement sympa sur cette aire. Et parmi les 20ers je n’ai pas vu de papiers jetés, je ne peux cependant pas me prononcer pour plus loin. Certainement il y a eu de nombreuses bouteilles d’eau jetés mais elles le sont non loin des points ravitos et l’organisation s’en est occupé.
Au bilan j’ai tout de même pris beaucoup de plaisir à rouler sur cette épreuve, avec des cyclosportifs que j’apprécie en tant qu’adversaires mais aussi avec les collègues à qui j’ai proposé il y a plusieurs mois de faire partie de l’aventure. A des degrés divers ils se sont fait plaisir sur cette course, ce qui reste bien sûr notre moteur…
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Messagede rickyfirst » Mar 8 Juil 2008 09:46

Excellent résumé de la tête de course.

A propos des tapis, dommage de ne pas avoir les temps affichés dans les résultats. Cela permettrait à pas mal de monde de voir comment ils ont gérés leur cyclo.

PS : mon résumé en plus long a été envoyé :lol:
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Messagede jipeka » Mar 8 Juil 2008 11:22

rickyfirst a écrit:Excellent résumé de la tête de course.

A propos des tapis, dommage de ne pas avoir les temps affichés dans les résultats. Cela permettrait à pas mal de monde de voir comment ils ont gérés leur cyclo.

PS : mon résumé en plus long a été envoyé :lol:


Bonjour,

Pour les temps intermédiaires, aller sur:
http://www.la-marmotte.org/index.php
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Messagede lolo » Mar 8 Juil 2008 12:54

@ Duduche,

juste pour info, Julien Bérard n'est pas encore PRO, il est en 1ère caté chez CCC (Chambéry Cyclisme Compétition) club de DN1.

:wink:

PS : Bravo à tous pour cette épreuve.

Je la fais en club et hors organisation dans 3 semaines (je penserais à vous dans les moments difficiles).
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Messagede charmette1261 » Mar 8 Juil 2008 13:10

lolo a écrit:@ Duduche,

juste pour info, Julien Bérard n'est pas encore PRO, il est en 1ère caté chez CCC (Chambéry Cyclisme Compétition) club de DN1.

:wink:

PS : Bravo à tous pour cette épreuve.

Je la fais en club et hors organisation dans 3 semaines (je penserais à vous dans les moments difficiles).

il n'est pas au ccf plutot ?
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Messagede rickyfirst » Mar 8 Juil 2008 13:28

David, il serait peut être intéressant que tu places ton Cr ici :wink:

PS : désolé de n'avoir pas beaucoup discuté à l'arrivée mais j'ai sale caractère lorsque malheureusement j'en ai chiè à cause de ma santé plus que vascillante cette année
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Messagede charmette1261 » Mar 8 Juil 2008 14:04

pourquoi il n'est pas bien sur mon blog :lol:

http://davidpolveroni.over-blog.com/
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Messagede duduche » Mar 8 Juil 2008 16:11

lolo a écrit:@ Duduche,

juste pour info, Julien Bérard n'est pas encore PRO, il est en 1ère caté chez CCC (Chambéry Cyclisme Compétition) club de DN1.

:wink:

PS : Bravo à tous pour cette épreuve.

Je la fais en club et hors organisation dans 3 semaines (je penserais à vous dans les moments difficiles).


Exact :wink:
Entre temps j'avais fait une recherche sur lui et j'ai vu qu'il avait marché fort, récemment sur le Tour des Pays de Savoie, notamment l'étape qui arrivait à la Toussuire. Il connait la région en plus :wink:
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Messagede jipeka » Mar 8 Juil 2008 16:47

rickyfirst a écrit:Dans l'absolu, j'ai trouvé la Marmotte belle mais clairement en dessous d'un marathon des dolomites du point de vue paysage et fête du vélo.


Bonjour rickyfirst

Des deux parcours, lequel est le plus exigeant?

Le marathon de Dolomites, emprunte-t-il toujours le même parcours?
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Messagede rickyfirst » Mar 8 Juil 2008 16:52

Le marathon des dolomites proposent beaucoup moins de vallée (y en a pas plus de 2 km) et est globalement composé de plus de cols mais beaucoup plus court.

Le marathon des dolomites est plus court et me convient mieux car cela monte moins haut en altitude et il y a des périodes de récupérations plus fréquentes.
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Messagede lolo » Mer 9 Juil 2008 15:25

charmette1261 a écrit:
lolo a écrit:@ Duduche,

juste pour info, Julien Bérard n'est pas encore PRO, il est en 1ère caté chez CCC (Chambéry Cyclisme Compétition) club de DN1.

:wink:

PS : Bravo à tous pour cette épreuve.

Je la fais en club et hors organisation dans 3 semaines (je penserais à vous dans les moments difficiles).

il n'est pas au ccf plutot ?


OUI :oops:
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Messagede samueldenis » Jeu 10 Juil 2008 21:23

rickyfirst a écrit:De retour chez le boss et je tousse toujours. J'ai perdu au moins un poumon, le 2éme est en analyse chez le médecin :cry: .

En clair nez bouché et poumons en feu. Donc j'en ai chier pour avancer comme ................. une marmotte. Résultat brute 8h03 :oops: . Sinon, je confirme que le cols et moi cela fait 2. Dès que l'on est au dessus de 5%, j'en chie grave. J'ai seulement bien rouler entre le sommet du galibier et le pied de l'alpe.

J'ai eu droit aux encouragements de Nicoa qui a manifestement une morphologie plus adpatée à la montagne que moi :lol: . J'"ai vu à l'arrivée les Voiron boys (Porte et Charmette). Félicitation à eux qui virevoltent lorsque je suis collé au bitume.

J'ai un poil taillé la bavette avec Casran de WW au début du Glandon.

Le Duduche fait 10éme d'une édition qu'il a trouvé bizarre du point de vue tactique. Le boss fait 71éme en 6H55 (le moral atteint par les valeurs de son SRM dans l'Alpa d'Huez :lol: ).

Niveau organisation, j'ai trouvé cela impeccable alors que l'on m'avait raconté des histoires horribles. Seul bémol, le ravitaillement en eau du pied du télégraphe qui donnait aux coureurs des bouteilles de 1,5 litres, moralité pleins de bouteilles quasi pleines sur la route 20 mètres après le ravito.

Dans l'absolu, j'ai trouvé la Marmotte belle mais clairement en dessous d'un marathon des dolomites du point de vue paysage et fête du vélo.


7h56 et 41secondes (mais j'ai pas du te voir car j'étais dans le 3è départ...). Prochaine fois, on peut la faire ensemble (bien que j'ai eu pas mal de pépins techniques + luxation d'épaule en pleine descente du lautaret suite à au faux mouvement... :lol: :lol: carrément flippant!!
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Messagede 585nico » Lun 14 Juil 2008 19:12

Me voila revenu des mes 2 semaines de vacances à Bourg d'oisans ( une avant et l'autre après la Marmotte ).
Pour ma part, première cyclo et j'en suis ravi. C'était génial.

Départ à 7h30, Bonne allure jusqu'à Rochetaillé, au barage ça grimpe vite mais je m'accroche. L'ascension du Glandon se fait avec une dizaine de gars ( dont moi et mon beauf ). Petite ravito en haut ( en eau aussi !!! ). J'entame la descente sur un rythme élevé. Mes corima font un bruit du diable sur les premières épingles alors je ralenti un peu car ça chauffe pas mal !!! La vallée se passe tranquillement, je passe pas mal de relai, je vois un bon groupe au loin qu'on reprendra après 2km du Télégraphe. La montée se fait à un bon petit rythme. Arrêt ravito à Valloire pour le Galibier. J'en ai bien chié. L'enchainement Télégraphe - Galibier est terrible. La descente permet un peu de récup tout de même. Encore ravito à Bourg d'oisans et c'est parti pour l'Alpe. J'ai très peur car je crois que je vais bien en chier. Finalement la montée passe pas trop mal au train sans accélérations. On fini en 7h06 à la 140 et 141ème place.

Vraiment content de moi car on espérai pas tant.
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