Il est très bien mon boyau et quasi neuf. Un minimini trou de merde qui tient puis ne tient plus. J'ai donc fait demi tour après 42 km de l'étape 3 pour aller chercher la tuture et ainsi pouvoir ravitailler les copains et leur éviter le retour en bus.
Sinon, j'étais arriver sur le tour de l'ain cramé et j'en suis sorti cramé
J'avais couru dimanche et lundi à un rythme élevé (43,6 km/h dimanche et 42 km/h lundi). Mardi 615 km de voiture et une sortie de décrassage de 1 heure. Mercredi matin étape 1, les jambes sont dures et absentes. Cela sera comme cela jusqu'au premier col après 100 km. Je monte donc en mode : fait beau ici, cela ira mieux demain.
Etape 2, on jouait la carte de notre sprinteur. Après la bosse au kilomètre 38, on est marron car le gars de chez nous qui a essayer de suivre l'échappée de 10 est resté planté, ensuite j'ai relancé pour revenir mais pas beaucoup de coup de main. La dernière carte était de suivre le tandem. Notre sprinteur est resté collé au tandem et a fait un beau raid derrière moto
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. Il est rentré sur la tête et fait 4 au final. Pour ma part, les sensations sont enfins venues et j'ai pu contrôler lorsque le peloton a essayer de rentrer sur l'avant.
Etape 3 le retour des jambes de merde. Un équiper attaque au kilomètre 0 et je fais mon possible pour que le peloton continue sa sieste. Après 42 km, j'ai une crevaison ultra lente. Je m'arrête, j'injecte un coup de pit stop et regonfle à la cartouche. Je décide alors de faire demi tour car je suis seul dans la pamap, avec des jamnbes de merde et 130 km à faire. Je préfère aider les copains.
Bialn, une superbe organisation avec pour quasi seul défaut, les menus d'après course digne d'un niveau diététique discutable. Cela serait également nickel si lon ne devait pas se taper les cadeaux tels que maillot et sac qui ne servent qu'à augmenter le prix de l'inscription.