Doc holliday a écrit:Pour le tissus imbibé, il suffit de découper une bande de 3 ou 4 cm au bas d'un vieux tee-shirt, de l'enfiler sur la jante à l'emplacement du boyau et d'imbiber le tissus de White-Spirit. 20 à 30mn plus tard, la colle s'en ira sans problème.
rickyfirst a écrit:Doc holliday a écrit:Pour le tissus imbibé, il suffit de découper une bande de 3 ou 4 cm au bas d'un vieux tee-shirt, de l'enfiler sur la jante à l'emplacement du boyau et d'imbiber le tissus de White-Spirit. 20 à 30mn plus tard, la colle s'en ira sans problème.
J'ai effectivement découpé des bandes de 3 à 4 cm de large
rickyfirst a écrit:j'ai amélioré la technique.
Pinceau avec white spirit = réactivation colle sur jante avant collage d'un nouveau boyau sur une jante déjà encollée
Tissus imbibé de white spirit appliqué sur l'ensemble de la jante = ramollissement de la colle pour faire un nettoyage complet de la jante
rickyfirst a écrit:sis si pas fou hein
Je réactive sur la jante avec le white spirit. Je remets une couche sur jante et une couche sur le boyau neuf.
prenard a écrit:Question sur le conditionnement de la colle: utilisez-vous plutôt de la colle en tube ou en pot ?
J'utilise personnellement de la colle Conti (alu ou carbone).
Si économiquement, le conditionnement en pot semble plus rentable, à l'usage c'est un peu différent... Après utilisation et pot refermé la colle a tendance à rapidement devenir plus épaisse (moins liquide)... Et donc rapidement (difficilement) inutilisable... Ce qui n'est pas le cas avec les tubes...
Avez-vous la même expérience ?
Autre question: qu'utilisez-vous sur des jantes carbone / disque ? Le problème de chaleur n'existant pas, j'utilise personnellement de la colle Conti Alu Jaune (plus facile à appliquer que la noire carbone). Une erreur ?
Merci pour votre aide.
Julienbzh a écrit:Bonjour,
Je possède des Veloflex Aremberg et des Conti Sprinter en 25 mm qui commencent à être fatigués.
Que valent les Conti Competition en terme de rendement par rapport aux deux précédemment cité ? Quand on lit sur www.bicyclerollingresistance.com que les boyaux Competition sont 2W moins rapides par rapport à des pneus GP 4000 S 2, ça ne me parle pas trop. Quelle différence cela peut-il induire sur 180 km à environ 33 km/h de moyenne ? La différence est-elle significative ?
Fireblade07 a écrit:Attention, les Veloflex ont des chambres à air latex, donc pour un Iron Man, c'est peut être pas le top... Etant donné que le latex est poreux = perte de pression.
Si tu mets ton vélo dans le parc la veille...
Fireblade07 a écrit:Attention, les Veloflex ont des chambres à air latex, donc pour un Iron Man, c'est peut être pas le top... Etant donné que le latex est poreux = perte de pression.
Si tu mets ton vélo dans le parc la veille...
frederic ostian a écrit:Pour format I-Man je serai beaucoup plus partant sur un Continental Force. Pas de pb de perte de pression, excellente résistance à la crevaison, meilleur rendement que le comp (bande de roulement sans picots). OK moins confort mais un super compromis.
Julienbzh a écrit:frederic ostian a écrit:Pour format I-Man je serai beaucoup plus partant sur un Continental Force. Pas de pb de perte de pression, excellente résistance à la crevaison, meilleur rendement que le comp (bande de roulement sans picots). OK moins confort mais un super compromis.
Est-ce que 24 mm pour une jante de 25 ça le fait ?
Matttt a écrit:Juste un petit retour d'expérience... Hier j'ai "subi" ma première crevaison en boyaux (Vittoria Corsa SC 23 assez usé). Ça a fait pschitt d'un coup dans une courbe et j'ai bien senti la différence avec une crevaison en pneus ; tout en roulant, obligé de regarder ma roue pour être sûr tellement ça se sent moins.
Bref, arrêt et un peu d'appréhension. J'avais sur moi une bombe de Pit-Stop et un boyau de rechange (un vieux Veloflex Record en 21 qu'un ami m'avait donné, light et compact).
D'abord test du Pit-Stop ; j'avais lu que c'était pas toujours évident et puis finalement c'est très simple. La mousse pénètre bien dans le boyau. Seul hic, le trou (sur le flanc à la jonction avec la jante) était trop gros et ça n'a jamais colmaté. Ça n'a fait que sortir sans jamais avoir le temps de se solidifier.
Donc changement du boyau : QUELLE FACILITE!!!! Sans rire, j'ai vraiment été surpris à quel point c'était rapide et facile. Arracher le boyau, c'est pas plus dur que démonter un pneu et installer le boyau, c'est 2 fois + rapide. Et + facile aussi qu'à la maison vu que la colle est "sèche" ; on le positionne/centre très facilement.
Passée l'appréhension des premiers km à craindre un déjantage (assez improbable il faut bien le dire), ça repart tranquille.
Voilà, donc pour ceux qui hésitent, ben, n'hésitez pas!
frederic ostian a écrit:Et ben écoute à chaque fois que je décolle un vieux Conti dans mon garage je me dis que je suis bien content de pas être en bord de route. Il m'est arrivé régulièrement de devoir le découper... Et pourtant je ne pense pas trop coller... Ni de manquer de force dans les mains.
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