Ajaj a écrit:Le plantage dans les bosses se résume assez bien par W/kg et VAM les 2 sont quasi parfaitement corrélé. Ceux qui plante dans les bosses sont trop lourd ou peu puissant... Ou les 2.
Ajaj a écrit:Le plantage dans les bosses se résume assez bien par W/kg et VAM les 2 sont quasi parfaitement corrélé. Ceux qui plante dans les bosses sont trop lourd ou peu puissant... Ou les 2.
Ajaj a écrit:Le plantage dans les bosses se résume assez bien par W/kg et VAM les 2 sont quasi parfaitement corrélé. Ceux qui plante dans les bosses sont trop lourd ou peu puissant... Ou les 2.
ThierryG a écrit:Tu persistes à oublier la cadence de pédalage : ceux qui se plaignent d'un vélo qui "plante" dans les bosses ne ressentent le phénomène qu'à faible régime de rotation.
Ajaj a écrit:Le plantage dans les bosses se résume assez bien par W/kg et VAM les 2 sont quasi parfaitement corrélé. Ceux qui plante dans les bosses sont trop lourd ou peu puissant... Ou les 2.
teamdindon a écrit:N'y a t'il pas un effet psychologique là-dedans ?
Celui qui se traîne à faible cadence sent le vélo souple qui ploie sous ses coups de pédales, contrairement au vélo rigide, et a donc l'impression que ses efforts servent à quelque chose, ce qui l'incite à continuer.
FabWisson a écrit:Salut à tous,
Pour alimenter le sujet, voici un lien de chez Endurotribe qui explique très simplement les notions de rigidité et raideur.
http://www.endurotribe.com/2020/06/didactiques-rigidite-raideur-difference-fondamentale/
PS. Allez aussi faire un tour sur les autres sujets didactiques qui sont tous très intéressant, même pour les routards.
Arph a écrit:Un peu raide, mais j'ai l'impression d'avoir compris
Mattdll a écrit:Arph a écrit:Un peu raide, mais j'ai l'impression d'avoir compris
Tu te plies aux définitions ?
PhanuHell a écrit:Même si je suis 100% en accord sur le fond de l'article, et le fait d'utiliser le terme raideur (qui est une grandeur physique mesurée en N/m) au lieu de rigidité, et que ça fait du bien de lire un article un poil sensé sur le sujet, je suis circonspect quant à vouloir conserver le terme rigidité, à la lumière de ce qu'ils expliquent. J'ai lu les justifications en commentaire de Antoine Hoffmann-M, qui me semblent recevables (vulgarisation, adaptation au jargon vététistique etc.), mais en même temps préjudiciables : ça me fait penser aux parents qui se font gauler à poser les cadeaux sous le sapin et expliquent aux mômes que "c'est juste pour aider le Père-Noël, qui existe quand même en vrai, mais que effectivement c'est pas réaliste qu'il se tape tout le taf tout seul, alors les parents l'aide un peu, vous comprenez mes chéris ?"
Ce qu'ils appellent rigidité est une conséquence directe de la raideur : c'est la déformation à un instant T sous une charge F .
Ce qu'ils appellent raideur en l'assimilant à la vibration est simplement l'observation de la déformation pendant une période donnée sous une charge variable , ce qui est très différent d'une vibration, même si la vibration en est une composante.
Bref, comme pour le Père Noël, quand c'est faux c'est faux, et au lieu de tourner autour du pot, le mot "rigidité" devrait être purement et simplement banni du vocable cycliste, puisque selon Wikipedia : "On réserve le terme apparenté rigidité pour indiquer une raideur infinie. ". Ce qui n'est de toute évidence pas le cas concernant nos biclous, n'en déplaise aux ayatollah du marquètinge.
Tout au plus, le mot rigidité pourrait être réservé à des pièces compactes et indéformables (visserie ou roulements à billes scellés par exemple, dont la déformation de l'ordre de quelques microns est notoirement négligeable). Ainsi, on pourrait éventuellement qualifier certains de ces éléments de "non rigide", le cas échéant quand leur déformation est perceptible (visserie titane dans certaines conditions par exemple).
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