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laurent.a a écrit:Effectivement, plus de 140 6 trous chez Shimano, mon 2e choix se porterait sur du Hope.
PhanuHell a écrit:Comme à moto depuis 80 ans : plus gros devant que derrière, en raison du transfert de masse au freinage. 160 devant et 140 derrière, donc. La raison n'est pas le gain de poids, mais plutôt d'essayer d'obtenir un feeling équivalent entre l'avant et l'arrière, i.e. point de blocage obtenu à effort similaire au levier, même si en pratique c'est quasi impossible.
Si c'était possible et si ça correspondait à ma pratique, je monterais 180/160 pour les descentes de cols, plus par confort que par nécessité, quoique...
teamdindon a écrit:PhanuHell a écrit:Comme à moto depuis 80 ans : plus gros devant que derrière, en raison du transfert de masse au freinage. 160 devant et 140 derrière, donc. La raison n'est pas le gain de poids, mais plutôt d'essayer d'obtenir un feeling équivalent entre l'avant et l'arrière, i.e. point de blocage obtenu à effort similaire au levier, même si en pratique c'est quasi impossible.
Si c'était possible et si ça correspondait à ma pratique, je monterais 180/160 pour les descentes de cols, plus par confort que par nécessité, quoique...
En VTT, ce paradigme est remis en question : https://enduro-mtb.com/en/rotor-size-myth/
Braking force distribution myth – how do you really brake?
You need more braking power at the front than at the back: this is the usual argument many riders make for having a bigger rotor up front compared to the back. It’s true, in principle, If you hit the brakes before going into a corner, you’re guaranteed to have upwards of 70% braking force at the front and a maximum of 30% at the rear. However, the decisive factor that leads to an overheated rotor is not those short, hard braking manoeuvres, but what you do throughout the descent. While engine braking on a motorcycle slows down the rear wheel as you let go of the throttle, the only thing keeping your speed in check while you descend on a mountain bike is the brakes. That means they have to dissipate a lot of energy in the form of heat. Usually, we use the rear brake to maintain our speed, because that way the front wheel remains easy to control and is able to generate the most cornering grip. Unless you want to do a stoppie to lift your rear wheel around a switchback, you wouldn’t normally want to lock up your front wheel. The constant friction at the rear results in significantly higher temperatures, which leads to fade and ultimately to overheated brakes and discoloured rotors.
cannon a écrit:Ba faut savoir freiner... Comme en voiture quand tu descends un col des Alpes : tu gardes pas ton pieds sur la pédale de frein tout le temps. Tu freines, tu relâches, tu reprends de la vitesse, tu refreines etc.
La le gars semble dire qu'il a le frein tiré tout au long de la descente, aberration.
Note : à moto sur circuit, on m'avait dit : "le frein arrière, tu t'en sers même pas". Ba j'ai vérifié... Il ne sert qu'à meilleurs que moi (pas dur, je suis un poireau), pour resserrer la trajectoire.
Etienne a écrit:Enfin, en voiture comme en moto, le frein moteur aide bien
PhanuHell a écrit:L'argument de die que le frein moteur aide énormément sur une moto, et manque donc sur un vélo, est juste. Mais bon il faut voir que sur une moto de route on a deux disque en 320 à l'avant et un disque de 220mm à l'arrière !!!![]()
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Donc à un moment faut pas pousser mémé dans les bégonias....
PhanuHell a écrit:J'ai rien contre les différence d'opinion, mais les lois de Newton sont les mêmes pour tout le monde...
teamdindon a écrit:PhanuHell a écrit:J'ai rien contre les différence d'opinion, mais les lois de Newton sont les mêmes pour tout le monde...
Je cherche juste à apporter un autre éclairage que celui de la puissance brute de freinage et du transfert de masse qui, effectivement, répondent aux lois de Newton.
teamdindon a écrit:Tiens, sur mon vélo de route à patins, où effectivement je sollicite plus l'avant que l'arrière pour freiner avant un virage, ce sont quand même mes patins arrière qui s'usent le plus rapidement.
PhanuHell a écrit:teamdindon a écrit:Tiens, sur mon vélo de route à patins, où effectivement je sollicite plus l'avant que l'arrière pour freiner avant un virage, ce sont quand même mes patins arrière qui s'usent le plus rapidement.
As-tu une idée de la raison ?
lebad a écrit:La roue arrière ramasse la saleté soulevée par la roue avant, aussi.
Arph a écrit:J'ai tendance pour ma part à systématiquement privilégier l'arrière pour ces cas-là, ça laisse toute la puissance de l'avant dispo s'il faut en remettre, je trouve l'arrière est plus facile à doser finement, et surtout si par une raison ou une autre il y a une perte d'adhérence brusque, c'est plus facile de rattraper l'arrière que l'avant.
alexP33 a écrit:La question que je me pose c'est est ce que vous dosez du frein arrière ou de la main droite ? (Si besoin d'etre plus explicite, si on vous inverse les manettes vous feriez quoi ?)
alexP33 a écrit:La question que je me pose c'est est ce que vous dosez du frein arrière ou de la main droite ? (Si besoin d'etre plus explicite, si on vous inverse les manettes vous feriez quoi ?)
Etienne a écrit:alexP33 a écrit:La question que je me pose c'est est ce que vous dosez du frein arrière ou de la main droite ? (Si besoin d'etre plus explicite, si on vous inverse les manettes vous feriez quoi ?)
J'ai eu l'occasion de monter une fois un vélo au freinage inversé, pour un ami motard ... lorsque j'ai fait quelques km de test, j'ai été perturbé mais très vite je me suis adapté, le transfert de masse est la sensation qui guide mon freinage.
ThierryG a écrit:Etienne a écrit:alexP33 a écrit:La question que je me pose c'est est ce que vous dosez du frein arrière ou de la main droite ? (Si besoin d'etre plus explicite, si on vous inverse les manettes vous feriez quoi ?)
J'ai eu l'occasion de monter une fois un vélo au freinage inversé, pour un ami motard ... lorsque j'ai fait quelques km de test, j'ai été perturbé mais très vite je me suis adapté, le transfert de masse est la sensation qui guide mon freinage.
J'ai été à la fois motard et cycliste pendant de nombreuses années et, franchement, ..... je ne me suis jamais posé la question.
Je pense qu'après la période d'apprentissage nécessaire à la maîtrise de chaque engin, le cerveau a intégré les différences et qu'il bascule automatiquement d'un mode de fonctionnement à l'autre selon le véhicule conduit. Jamais je n'ai eu le réflexe d'actionner le frein avant de mon vélo à fond après avoir roulé à moto.
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