JulienCampa a écrit:Faire chauffer une résistance .... jusqu'à incandescence ... on voit que tu n'es pas électronicien
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... car à un moment, elles risque tout simplement de casser ....
Mettre un moteur à aimant permanent et embarquer toute l'électronique de contrôle du courant du stator, je pense pas que cela soit vraiment une optimisation ... car quand tu voudras freiner, il va falloir faire appel à un calculateur qui va mesurer le couple et la vitesse de la roue pour faire sortir plus ou moins de courant suivant la course du levier et/ou la force appliquer sur le levier -> ce qui implique un ressort de rappel ou truc de ce genre avec un capteur de force pour que le cycliste sente quelle force qu'il applique.
On aura au final un système beaucoup plus cher, encombrant, lourd et avec un risque de panne bien plus élevé qu'avec un simple câble ou une simple durite ...
Le freinage à induction dans les camions est utilisé en type "frein-moteur" comme dans une voiture électrique ou hybride quand on retire le pied de la pédale des gaz ou qu'un régulateur de vitesse est enclenché .
Dès qu'on freine mécaniquement, la puissance hydraulique est bien supérieur à la puissance électrique et pour l'instant, rien ne peut remplacer cette force (à part les MW des moteurs des TGV... )
Faire chauffer une résistance .... jusqu'à incandescence: pourquoi pas un super feu-stop (de 5 kilowatts, derrière on serait averti que vous freinez), les phares, c'est ça: des résistances portée à l'incandescence qui se débarrassent de leur énergie en rayonnant...
Mettre un moteur à aimant permanent ? Non, on n'y est pas encore: supraconducteurs à température ambiante, mais on n'a pas encore la technologie. Sinon blague à part, les aimants permanents ne sont qu'initiatieurs, un freinage magnétique est avec des électro-aimants, plus légers, plus puissants, tirant leur énergie... du freinage.
il va falloir faire appel à un calculateur qui va mesurer le couple et la vitesse de la roue pour faire sortir plus ou moins de courant suivant la course du levier et/ou la force appliquer sur le levier -> ce qui implique un ressort de rappel ou truc de ce genre avec un capteur de force pour que le cycliste sente quelle force qu'il applique: oui, cette technologie existe déjà, le moindre microprocesseur de "montre" peut faire le calcul..
Rien ne peut remplacer cette force (à part les MW des moteurs des TGV... ) avec des champs magnétiques plus fort (pour ça que serait bien les supraconducteur... si.
On aura au final un système beaucoup plus cher, encombrant, lourd et avec un risque de panne bien plus élevé qu'avec un simple câble ou une simple durite: oui, évidemment... mais où on va, les vélos vont finir par être compliqué comme des avions...
Le freinage à induction dans les camions est utilisé en type "frein-moteur" comme dans une voiture électrique ou hybride quand on retire le pied de la pédale des gaz ou qu'un régulateur de vitesse est enclenché: si c'était ainsi sur les vélo, le vrai freinage en urgence ne représenterait pas beaucoup de temps d'utilisation.
Pour conclure ça semble bien compliqué les freins à disque, finalement les freins à patins "cantelivers", d'un "vieux" vélo cross, c'est pas si mal (même sous la pluie) avec des jantes qui ont un alu de qualité....